Membres de la coalition

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Nom 

KONE

Prénoms 

LADJI

Pays 

Côte d’Ivoire

Organisation 

Action contre les Grossesses non Désirées et à Risque

Dénomination du groupe thématique

AGnDR

Poste occupé 

Membre fondateur de l’AGnDr

Spécialiste en plaidoyer, communication pour le changement social et de comportement et en mobilisation sociale.

Consultant

Rôle dans la coalition pays 

Nous sommes très actifs pour le plaidoyer en faveur des DSSR et pour la prise d’une loi sur la santé de la reproduction en Côte d’Ivoire

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 Actuel Responsable des affaires financières (RAF) de l’ONG Africa Global International, il est membre du Secrétariat de Action contre les Grossesses non Désirées et Risque (AGnDR), groupe thématique de plaidoyer pour la domestication du protocole de Maputo (Article 14-2.C) ainsi que pour l’accès des femmes à l’avortement sécurisé en Côte d’Ivoire.

 

   Ingénieur Financier de formation, avec un master 2 option Audit & Contrôle de Gestion, il totalise une quinzaine d’années d’expériences en Gestion de projets, en     tant que :

·                 Grant Manager à International HIV/AIDS Alliance (2005-2011)

·                Grant Specialist à USAID/OTI (2011-2014)

·                Responsable Administratif et Financier à Africa Global International depuis 2015

   Spécialiste en planification stratégique et pilotage des Projets, l’évaluation des Performances, la mobilisation des ressources, la gestion des Subventions,        l’administration et suivi financier du projet.

 

  Il a un large éventail de compétences qu’il met au service de la communauté, à travers des organisations de la société civile locales et d’ONG internationales     œuvrant dans les domaines de la santé, la gouvernance, le renforcement de capacités et le développement communautaire.

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Je suis née à Bukavu en décembre 1968 dans une famille de 8 enfants dont 3 messieurs et 5 mesdames. Mon père SEBAHIRE Sébastien était laborantin des mines et n’est plus,  Ma mère s’appelait M’ RUDHAINDWA Madeleine était enseignante et vient de rendre l’âme en 2020.

J’ai obtenu une licence en santé publique à l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM / Bukavu) en 2004.

Je m’intéresse depuis lors à réconforter les femmes et les vulnérables à la santé des femmes et des vulnérables à travers Solidarité des femmes de Nyalukemba (SOFENYA) qui deviendra l’actuelle Solidarité des Femmes pour le Développement Intégral (SOFEDI) dont je suis la coordinatrice.

A travers SOFENYA, je m’occupais des femmes vivant avec le VIH dans mon cellule de Nguba qui fait partie du quartier Nyalukemba. J’ai élargi progressivement cette action dans les territoires périphériques de la ville de Bukavu.

En plus des activités de dépistage volontaire et d’encadrement des personnes infectées et affectées du VIH-SIDA, je me souviens avoir travaillé  pour la consolidation de l’harmonie dans les couples séropositifs concordants (l’un des conjoints est malade) et discordants  (les deux conjoints sont malades).

Je m’évertue à créer un environnement favorable à la sécurité et à l'égalité ainsi qu’aux droits des femmes à la santé sexuelle et reproductive en RD Congo. Et ce, au niveau de la base, de la société civile et du gouvernement.

Je suis cofondateur de Coalition 14.
Nous militons pour faire passer un édit sur la santé reproductive au niveau local de la province du Sud-Kivu et une loi sur la santé reproductive au niveau national en RD Congo. Ces propositions d’édit ou de loi, selon le cas, s’appuient  sur l’article 14 du Protocole de Maputo.

Je ne suis pas une dame des bureaux. Je descends sur terrain entre autres pour contribuer à la promotion des droits sociaux et économiques des femmes travaillant dans et autour des sites miniers artisanaux.

Ces femmes sont marginalisées, harcelées et même violées alors qu’elles travaillent pour la survie de leurs ménagers. Je suis le point focal du Réseau national des femmes travaillant dans les mines, RENAFEM, au Sud-Kivu, vice team lead du groupe thématique mines et point focal de Coalition 14.

Je crois avoir fait quelque chose mais ce qui reste à faire est énorme.